Candidats
Jérémy Moutout
Alexander Elhen
Louise De Beaumont
ILCA 6 et 7
L’International Laser Class Association (ILCA) est la principale entité qui organisé les courses de Laser dans le monde entier jusqu’à peu. En 2019, l’ILCA a entamé un processus visant à autoriser de nouveaux fabricants de bateaux à construire des bateaux qui pourraient être courus dans les événements de l’ILCA. Le Laser est une classe de dériveur monotype très populaire. C’est un solitaire, c’est-à-dire qu’une seule personne peut monter à bord pour barrer et régler la voile. La conception de Bruce Kirby met l’accent sur la simplicité et la performance. Il est devenu un des dériveurs les plus répandus dans le monde, avec plus de 200 000 unités construites au début de 2011. Son succès réside dans sa simplicité, sa robustesse et dans son adoption par les régatiers qui apprécient sa stricte monotypie : tous les concurrents utilisent coque et gréement fournis par un seul constructeur, seules des modifications mineures explicitement autorisées dans la jauge sont permises. À ses débuts, le Laser était un bateau économique et simplifié à l’extrême, et sa production dans l’usine de Waterford en Irlande, avec des coûts de main-d’œuvre réduits, permettait un coût extrêmement bas (moins de 5 000 F français prix public) en 1976. De nos jours, et même s’il reste le moins cher des dériveurs de régate, le prix a considérablement augmenté (nettement plus vite que l’inflation, 6 000 € pour un bateau neuf en 2011, ce qui reflète l’augmentation des marges par bateau jointe au ralentissement du chiffre de la production annuelle). En 2018, il est vendu autour de 7 000 €. Malgré cela le Laser reste un bateau populaire et relativement accessible, nettement plus abordable techniquement et financièrement, que les dériveurs extrêmes. La série a vu éclore une véritable pépinière de champions qui se sont affûtés à armes égales sur Laser et aussi à la Coupe de l’America.
Type de Coque Nombre de Membres d’Équipage
Dériveur 1
Année de Statut Nombre de Trapezes
1974 Sangles de Pied
Longueur de Coque Largeur (Bau)
4,23 m 1,37 m
Kitefoil
Les ailes à caissons sont un type d’ailes utilisées dans des disciplines sportives de traction telles que le kitesurf
Les ailes se gonflant qu’à la force du vent. La pression interne est donc égale ou légèrement supérieure à la pression atmosphérique
Ailes à caissons ouverts
Le bord d’attaque de l’aile (bord que le vent atteint en premier) présente une rangée d’ouvertures. La pression interne est donc subordonnée à la force du vent. Le profil reste ainsi rigide tant que le vent s’engouffre dans les caissons. L’avantage d’un tel système est que la voile ne développe plus de puissance dès qu’elle est correctement posée, les caissons se vidant de leur air. Ce design simple et robuste apporte une autonomie et une solidité appréciables notamment dans le cas d’une pratique terrestre. L’inconvénient majeur des ailes à caissons ouverts et qu’elles sont difficilement utilisables pour une pratique marine, l’eau s’engouffrant dans les caissons en cas de chute de l’aile, empêchant son redécollage et mettant en danger le pratiquant.
Développement et histoire des cerfs-volants à foil
L’un des premiers cerfs-volants populaires à base de foils a été développé par Ray Merry et Andrew Jones au début des années 1970 en Angleterre1, sous le nom de Flexifoil (et plus tard de la société Flexifoil).
- La planche
- Le mât
- Le fuselage
- L’aile avant
- L’aile arrière ou le stabilisateur